Empire of light : lueurs

Sam Mendes est un réalisateur que je découvre peu à peu. Jusqu’ici, je n’ai vu (pour mémoire) que deux de ses films (1917 et Mourir peut attendre), des expériences sympas et qui m’ont laissé un assez bon souvenir donc.  Changement d’ambiance avec Empire of light qui se veut plus mélancolique mais tout aussi agréable, voire appréciable. Nous sommes dans … Lire la suite Empire of light : lueurs

The Duke : Redevance

  C’est toujours un plaisir de se faire un film britannique, surtout lorsqu’il s’agit d’une comédie. Un humour assez subtil, qui peut vous faire rire de tout, même de situations assez pénibles, pour ne pas dire graves.  C’est justement le cas du côté de Newcastle. Nous sommes en 1961 sur les rives de la cité … Lire la suite The Duke : Redevance

La Ruse : histoire d’une duperie

J’aime assez bien les films de guerre. Pour leur suspense bien sur mais aussi pour le scénario qu’ils proposent surtout lorsqu’ils sont basés sur des faits réels. Dans ce cas, c’est un pan entier de notre histoire, de l’Histoire plus largement, qui est évoqué, faisant du 7ème art, l’endroit idéal pour entretenir le fameux et indispensable … Lire la suite La Ruse : histoire d’une duperie

Mourir peut attendre : « My name is Craig. Daniel Craig! »

Dix-huit mois d’attente contrainte et forcée. Dix-huit mois à se demander si on allait enfin découvrir ce film tant les rumeurs et autres spéculations faisaient bon train !  Il est toutefois bel et bien là, ce vingt-cinquième opus des aventures de James Bond, ce Bond 25 ! Nous retrouvons ce fameux James, désormais retiré des services secrets … Lire la suite Mourir peut attendre : « My name is Craig. Daniel Craig! »

After love : Double-vie(s)

Malgré le Brexit, c’est toujours un plaisir de voir des films britanniques. Ils dégagent quelque chose de particulier, d’assez original surtout lorsqu’il s’agit d’un drame.  L’histoire suivante ne déroge pas à la règle. Nous sommes dans le comté du Kent, non loin de Douvres. Mary vit avec Ahmed depuis plusieurs années. Par amour, elle s’est … Lire la suite After love : Double-vie(s)

Supernova: aimer, C’est accepter!

Colin Firth. Un acteur qui symbolise assez bien le so british, l’élégance à l’état pur. Un homme assez complet qui excelle dans les rôles dramatiques, donnant aux films dans lesquels il joue, une force et une saveur particulières.  C’est tout particulièrement vrai avec Supernova. Nous sommes quelque part en Angleterre. Sam et Tusker sont en couple … Lire la suite Supernova: aimer, C’est accepter!

Tenet : les couloirs du temps

Christopher Nolan est un homme compliqué. Enfin, je veux dire que ce sont ses films qui sont compliqués. Compliqués à suivre, compliqués à comprendre, ce qui a son avantage en soi mais aussi ses inconvénients.  Tenet ne devrait pas échapper à la règle, le réalisateur britannique prenant un malin plaisir à complexifier son scénario et son … Lire la suite Tenet : les couloirs du temps

Judy : les blessures d’une (enfant) star

Macaulay Caulkin, Brooke Shields, Sophie Marceau ou encore Michael Jackson. Tous ont le point commun d’avoir connu le succès et la gloire jeunes, voire très jeunes et ce qui va avec : l’argent, la notoriété mais aussi les revers. C’est ce qu’a connu Judy Garland. Nous sommes en 1969. L’interprète principale du Magicien d’Oz écume les … Lire la suite Judy : les blessures d’une (enfant) star

1917 : mission impossible

Les films de guerre ont toujours été à part au cinéma. Ils ont quelque chose de spécial entre suspense, action et moments plus ou moins dramatiques. Des scènes intenses qui vous mettent en condition, avec un dénouement plus ou moins inattendu. Nous sommes au printemps 1917 dans la Somme. William Schofield et Tom Blake sont … Lire la suite 1917 : mission impossible

Sorry, we missed you : uberisation(s)

Ken Loach est un homme engagé, mais surtout en colère qui n’hésite pas à livrer un regard sans concession mais aussi humain sur la société britannique, notamment les laissés pour compte. Un regard régulièrement salué par la critique en témoigne les nombreuses distinctions et récompenses. Trois ans après le remarquable, Moi, Daniel Blake, Ken Loach … Lire la suite Sorry, we missed you : uberisation(s)